Quels sont les travaux de maçonnerie prévus pour une extension de maison ?

cuisi

Une extension de maison n’est jamais une tâche facile à effectuer. Il s’agira de procéder à la simplification et à l’élargissement des accès à l’extérieur. Pour faire court, cette opération permet de donner plus de volume à votre espace. Les travaux d’extension, dans la majorité des cas, donnent la possibilité d’augmenter la valeur de son bien, de créer une nouvelle pièce ou de moderniser le style de sa maison. Quels sont les travaux de maçonnerie prévus pour une extension de maison ? L’article qui suit vous donne tous les détails.

L’importance d’une extension de maison

Autrefois, votre maison était sans aucun doute de bonne taille, ce qui convenait parfaitement à vos besoins. Avec l’agrandissement de la famille, l’espace devient insuffisant. Dans ces conditions, un déménagement s’impose. Seulement, ce n’est pas toujours la solution idéale. Un ajout à la maison se révèle beaucoup plus avantageux, car elle est une option à la fois rentable et qui évite les tracas.

Le plus souvent, l’extension de la maison est beaucoup plus privilégiée. Il s’agit d’un type d’ajout permettant d’agrandir le rez-de-chaussée de la structure. Son avantage principal réside dans le fait qu’il nécessite moins de perturbations. Toutefois, en fonction du lieu où vous habitez et de la superficie de votre terrain, le respect des lois de zonage et la perte de terrain peuvent être des inconvénients.

Le coût d’une extension de maison

En règle générale, le coût d’une extension de maison n’est pas fixe. Il est déterminé sur la base de nombreux facteurs. Optez-vous pour un projet clé en main ? L’extension se fera-t-elle sur pieux ou sur une dalle en béton ? Voilà autant de questions auxquelles vous devez donner réponse avant de connaître le coût des travaux de maçonnerie pour votre maison à Charleroi.

Il est aussi important de ne pas faire l’impasse sur les matériaux qui serviront pour les travaux. C’est un facteur à prendre en compte pour estimer le prix final. Pour votre projet d’extension de maison, vous devez compter entre 120 et 220 euros/m².

Les travaux de maçonnerie pour une extension de maison

L’extension d’une maison nécessite de nombreux travaux de maçonnerie. Ces derniers participent considérablement à la réussite de l’opération. Dans ce cadre, il est recommandé de procéder à la pose d’une dalle en béton isolé au sol.

De cette façon, l’isolation de l’extension est efficace, ce qui est avantageux particulièrement pour une extension qui doit être utilisée en toute saison. En effet, le froid, le plus souvent, passe par le sol. Sans isolation, la pièce sera donc humide et le chauffage plus coûteux en hiver.

En fonction du plan, l’équipe commence la préparation du terrain pour la réception de l’extension. Ensuite, la dalle en béton sera coulée suivie par le coulage de la semelle et des murs de fondation en béton. Pour finir, les murs seront montés et les maçons feront la finition de l’extension. Ceci concerne notamment la finition en briques ou en pierres.

L’extension d’une maison, dans certains cas, est indispensable. Il s’agit de travaux dont le coût dépend de nombreux éléments. Surtout, plusieurs travaux de maçonnerie sont prévus dans le cadre de cette extension de maison.

Quels prix pour une rénovation de toiture ?

couvreur sur un toit pour rénovation toiture

Disposer d’une toiture au-dessus de sa tête procure un sentiment de bien-être et de sécurité. Cependant, beaucoup de personnes prennent leur toiture comme un acquis, oubliant qu’un toit n’est pas éternel. Lorsque les choses vont mal avec votre toit, il est crucial de traiter le problème immédiatement. Quel est donc le coût d’une rénovation de toiture ?

Combien coûte la rénovation d’une toiture ?

La rénovation d’une toiture est sans aucun doute l’une des plus grosses dépenses que vous aurez à faire en tant que propriétaire de maison. Qui plus est, il ne s’agit pas d’une rénovation dont vous pouvez profiter directement une fois qu’elle est terminée, comme, par exemple, une nouvelle terrasse ou une cuisine rénovée. Cependant, il s’agit d’un investissement qui vous permettra de garder votre maison en bon état pendant des années.

La durée de vie moyenne d’une toiture nouvellement remplacée est de 30 à 100 ans, selon le type de matériau de couverture que vous choisissez. Le prix moyen pour remplacer une toiture de 100 m² est de 20 000 €. Les facteurs qui influencent souvent le coût de ce type de travaux sont :

  • La superficie de la toiture ;
  • La forme de la toiture (pente, plate, en terrasse…) ;
  • Le type de matériau de couverture que vous choisissez (shingle, ardoise…) ;
  • L’ampleur des travaux à réaliser ;
  • L’emplacement géographique de votre maison.

Le prix de la rénovation de toiture par m²

Lorsque vous recevez un devis pour la rénovation de toiture, vous pouvez vous attendre à ce qu’environ 60 % de ce devis soit dédié aux frais de main-d’œuvre, facturés par m², et qu’environ 40 % couvrent les matériaux nécessaires à votre travail de couverture. Si vous désirez évaluer le coût de votre projet de rénovation de toiture, vous pouvez demander un devis à l’entreprise toiture André.

La main-d’œuvre

Le prix de la main-d’œuvre pour une rénovation de toiture varie entre 176 € et 255 € le m² selon les travaux pratiqués. Dans le domaine de la toiture, il existe un terme commun appelé « carré ». Un carré de toiture couvre 100 pieds carrés en matière de superficie du toit. Voici quelques facteurs qui peuvent entraîner une augmentation ou une diminution du coût de la main-d’œuvre pour une rénovation toiture :

  • L’étendue des dégâts
  • Les conditions environnementales
  • L’enlèvement de l’ancien matériau.

Les matériaux

Le choix du matériau influence également des tarifs des devis pour la rénovation de votre toiture. Nous vous présentons ci-dessous le coût de remplacement d’une toiture en fonction de certains des matériaux de couverture les plus utilisés.

Matériau Prix du m²

Shingle : 60 € TTC

Tuiles en terre cuite : 55 € TTC

Tuiles en béton : 50 € TTC

Zinc : 60 € TTC

Ardoises : Entre 100 € et 170 € TTC

Acier : 40 € TTC

Le coût de la rénovation de la toiture par rapport à celui de la réparation

Les dommages subis par votre toiture ne sont peut-être pas très importants. Devriez-vous la réparer au lieu de la rénover ? Avant de procéder à une quelconque réparation ou à une quelconque rénovation, en particulier de votre toiture, il est toujours bon de demander l’avis d’un professionnel de confiance.

Tant que les dommages ne sont pas importants ou que vous souhaitez changer le matériau de votre toit, il est possible qu’une réparation fasse l’affaire. Si c’est le cas, vous avez de la chance. Les réparations de toiture sont certainement moins coûteuses qu’une rénovation. Pour une réparation mineure, vous pouvez vous attendre à payer en moyenne 45 € et 90 € par mètre carré si vous avez une toiture en asphalte. Les matériaux de qualité supérieure coûteront plus cher.

Quelles solutions pour une bonne isolation acoustique ?

isolation-mur

Dans un appartement, il est possible que la réduction des bruits de l’extérieur vers l’intérieur du logement soit assez compliquée. L’isolation acoustique vise à empêcher la propagation des bruits et des vibrations sonores. Il existe plusieurs méthodes pour limiter considérablement ses bruits. Découvrez les solutions pour une meilleure isolation acoustique.

Intervenir lors de la conception du logement

L’amélioration du confort acoustique des habitants passe par l’orientation et l’organisation des chambres de l’appartement. En effet, c’est toujours préférable de disposer la cuisine et la douche dans la zone de la façade bruyante. De même, la salle à manger doit également figurer dans une telle zone. De l’autre côté de la façade calme, ce sont les pièces de travail et celles de repos qui doivent y figurer.

De plus, séparez les espaces de séjour du local contenant les installations qui font beaucoup de bruits. Comme installation, on peut retrouver le conditionnement d’air et les chaudières. Une telle séparation n’est possible qu’avec les couloirs. D’autres propriétaires adoptent les escaliers. Optez pour la toiture Duda si vous désirez une bonne isolation acoustique.

Intervenir sur le choix des matériaux

Le choix des matériaux de construction relève d’une grande importance en isolation acoustique. En effet, il est conseillé d’utiliser des matériaux possédant un effet de masse assez considérable. Pour reconnaître ces matériaux, il vous faudra contrôler l’épaisseur de ces derniers. Leur densité est aussi un aspect très important pour limiter les vibrations. L’expérience a prouvé que les cloisons en béton jouent un grand rôle dans l’isolation.

Par contre, les cloisons en plâtre participent aussi à l’isolation, mais cela avec un effet insignifiant. Par ailleurs, l’effet de ressort représente l’aspect qui fournit plus d’efficacité aux matériaux. Grâce à cet effet, toutes les vibrations sont anéanties dès le début des travaux de construction. Pour sa mise en application, la plupart des maçons font des combinaisons entre plusieurs matériaux.

Remplacer les châssis ou la porte d’entrée

Les ouvertures qui font passer l’air sont aussi capables de conduire des bruits à l’intérieur d’un bâtiment. En effet, les fenêtres représentent les points facilitant l’entrée des bruits de l’extérieur. Ces ébrouements peuvent s’engouffrer dans un joint abîmé ou toute sorte de boîtes vides. Lorsque vous êtes confrontés à cette situation, le double vitrage avec une isolation acoustique consolidée est recommandé.

Ce dernier est un double vitrage asymétrique et bien renforcé. La majorité de ceux qui vivent à proximité d’un aéroport adopte le double vitrage en haute performance. Ce type de vitrage est connu pour l’amortissement de grand bruit. Il faut noter que les châssis en bois sont très efficaces.

Agir sur les plafonds

L’isolation à travers le plafond est une solution efficace pour vos problèmes d’ébrouement. Pour y arriver, vous avez la possibilité d’insérer entre le plancher de votre étage supérieur une laine isolante. Cette laine peut être d’origine animale ou végétale. De même, de nombreuses personnes préfèrent intégrer une telle laine entre les panonceaux de plâtre pour fermer l’espace vide.

De plus, vous pouvez fixer un faux plafond pour avoir satisfaction. Exigez les plafonds désolidarisés à votre ingénieur de bâtiment. Il faut mentionner que la mise en œuvre de cette méthode n’est pas coûteuse.

Démoussage de toiture : quand et comment procéder ?

Démoussage de toiture quand et comment procéder

Progressivement, des végétaux se mettent à proliférer sur la toiture, peu importe le matériau utilisé. Cela donne visiblement un aspect négligé avec tous ces lichens et autres algues qui débordent. Sans un minimum d’entretien, la conséquence peut être préjudiciable à la couverture et son étanchéité. Le confort du logement diminuera, et les occupants le ressentiront. La chose à faire consiste à démousser la toiture. Quand le faire, mais surtout comment procéder ?

Le moment pour démousser

Le moment pour démousserLa date pour traiter mousses et lichens sur toiture dépend de deux facteurs. Il s’agit :

  • Du matériau de la couverture : les végétaux se développent plus vite sur les ardoises et les tuiles ;
  • La pente du toit : qui peut être plus ou moins raide.

Le climat a également une grande incidence, car les écarts de températures et les fortes intempéries participent à la formation de mousse. Il en est de même pour l’environnement immédiat du domicile, selon qu’il y ait une proximité avec des arbres ou non. Dans le cas d’une nouvelle construction, il est recommandé d’attendre une décennie avant de démousser pour la première fois. Par contre, l’opération doit être plus fréquente pour les habitations plus anciennes.

Dans ce cas, vérifier l’état de la toiture et démousser est recommandé tous les deux ans. Ne faites rien vous-même, car un spécialiste est mieux recommandé pour ce type de travaux. Monter sur une toiture peut être dangereux, et vous n’avez certainement pas les compétences pour cela. Ceux qui possèdent un jardin doivent éviter le démoussage en automne. C’est la période où les feuilles tombent le plus. Vérifier la météo est important, pour que l’application des traitements se fasse bien.

Comment démousser ?

Comment démousserCommencez l’opération par un nettoyage des gouttières, afin d’éliminer les débris qui y sont. Frottez ensuite la toiture pour la débarrasser des traces visibles de végétaux. Pour cela, il faudra utiliser une brosse assez dure et de l’eau. L’usage de détergent est proscrit, et notamment de l’eau de Javel. Vous ne réussirez qu’à endommager vos tuiles, et surtout les ardoises. Quant au rinçage, il peut se faire avec un tuyau ou un nettoyeur. Qu’il soit basse ou moyenne pression n’a pas d’importance.

Par contre, il ne faudra pas utiliser un nettoyeur haute pression au risque de détériorer le matériau de couverture. Dès que la toiture est nettoyée, il faut à présent appliquer un produit particulier. Son rôle est de freiner l’apparition des végétaux. Il s’agit quelques fois d’hydrofuges, dont le rôle est de lutter contre :

  • Les mousses ;
  • Les algues ;
  • Les champignons.

De plus, le matériau de couverture gagnera en imperméabilité. Les probabilités d’infiltration et dégâts causés par le gel sont diminuées. L’application doit se faire du haut vers le bas de la toiture, en plusieurs couches au besoin. Un rinçage peut être nécessaire, mais il faudra considérer l’état initial du toit pour l’envisager. Dans le cas contraire, les déchets s’en iront avec la prochaine pluie.

Le démoussage est une opération qui permet de nettoyer la toiture, et lui conférer de la durabilité. La fréquence à laquelle opérer est de 10 ans pour une nouvelle construction, et de 2 ans pour une ancienne. Quant à la procédure, contacter un spécialiste est la meilleure chose à faire.

Garantir une bonne ventilation de maison : les astuces

ventilation de maison

Face à des réglementations énergétiques plus exigeantes, nous sommes désormais obligés de contrôler notre ventilation. Indubitablement, cette mesure présente des avantages en termes de consommation d’énergie. Cela dit, cela n’est pas sans impact sur la qualité de l’air intérieur de nos maisons. Ouvrir les fenêtres comme par le passé ne suffit pas pour assurer un apport suffisant d’air frais dans la pièce, c’est pourquoi un système de ventilation doit être installé. Comment peut-on être sûr de disposer d’une bonne ventilation chez soi.

Les différents types de VMC

Il existe plusieurs systèmes de ventilation mécanique contrôlée sur le marché. Ems-chauffage.be peut vous renseigner sur ce sujet. Ceux-ci sont classés selon la manière dont l’air est fourni ou la manière dont l’air ancien est extrait de la maison:

Le système de ventilation B

Fournir mécaniquement de l’air frais à la maison par un dispositif de ventilation. L’air vicié est naturellement absorbé par les grilles de ventilation installées dans les contours des portes et fenêtres.

Le système de ventilation C

La grille de ventilation étant installée sur les profilés de porte et de fenêtre, l’apport d’air frais est naturellement assuré. Utilisez des ventilateurs pour extraire mécaniquement l’air vicié.

Le système de ventilation C +

Le système de ventilation C est contrôlé à la demande. Il est plus économe en énergie et ne ventile que les pièces qui ont besoin de ventilation pendant le temps utile.

Système de ventilation D

L’apport d’air frais et l’extraction de l’air vicié sont effectués mécaniquement par l’unité de ventilation. Les filtres utilisés pour purifier l’air intérieur complètent généralement le système et le système utilisé pour récupérer la chaleur contenue dans l’air vicié.

La ventilation selon les besoins de la maison

Pour le système le plus simple, le débit est réglé par un capteur. Le capteur est placé dans le flux d’air du caisson d’extraction pour contrôler le passage de la vitesse lente à la vitesse élevée. Au contraire, lorsque la valeur mesurée atteint la valeur déterminée par l’utilisateur (l’humidité relative est comprise entre 20% et 80%).

Un autre système plus avancé fonctionne en ajustant le débit d’air de chaque orifice d’aspiration (cuisine, salle de bain, toilette), grâce au tissu tissé sensible à l’humidité ambiante, qui peut être étiré ou rétracté vers des passages plus ou moins à ciel ouvert. moins fréquemment. Il en est de même pour l’entrée d’air, en fonction du taux d’humidité mesuré extérieurement.

Conçus spécifiquement pour les cuisines et les toilettes, certains trous d’échappement peuvent augmenter le débit en modifiant l’ouverture des volets ou en augmentant la vitesse de l’extracteur d’air. Utilisez du fil de nylon ou un interrupteur manuellement. Au bout d’un certain temps, il passe automatiquement à l’unité de détection de présence et la minuterie revient automatiquement à la vitesse normale.

Le raccordement à la hotte de cuisine

Le raccordement d’une hotte au conduit de ventilation est strictement interdit. C’est également vrai dans une seule famille, dans un complexe d’appartements, ces connexions «sauvages» détruisent tout le système. S’il n’y a pas de tuyau, un couvercle de récupération doit être installé. De même, la chaudière, le poêle ou la cheminée doit être raccordé à son propre conduit de fumée (un seul appareil peut être raccordé à chaque conduit). Evitez absolument toute connexion avec la gaine VMC. Le gaz VMC combine l’évacuation et l’évacuation des gaz de combustion, qui est un équipement spécial.

Choisir la meilleure isolation thermique : Comment y procéder ?

Choisir la meilleure isolation thermique

Afin de garantir le confort des habitants d’une maison et de réduire les dépenses énergétique, l’isolation thermique est un procédé à ne pas négliger. Elle consiste à réduire les déperditions énergétiques. De nos jours, divers alternatives sont disponibles en termes d’isolation. Pour bien faire le choix, vous trouverez ici les détails.

Pourquoi isoler la maison ?

L’isolation consiste essentiellement à économiser et à garantir le confort des habitants de la maison. Il existe l’isolation phonique ainsi que l’isolation thermique. La première se réfère à l’isolation du bruit intérieur et extérieur. Cela permet notamment d’éloigner les nuisances sonores.

Quant à la seconde, elle offre la possibilité de se protéger face à la chaleur et le froid. Lorsque l’isolation thermique est performante, elle permet de réduire les déperditions caloriques et les échanges de chaleur. Cela limite le recours au chauffage en hiver et à la climatisation en été, diminuant ainsi la consommation en électricité.

En baissant cette consommation en énergie, vous contribuez à la réduction de l’émission de gaz à effet de serre. Vous prenez ainsi part dans la préservation de l’environnement.

Choisir l’isolant thermique

Le choix de l’isolant thermique dépend amplement des différentes particularités de l’habitation et de vos préférences personnelles. Pour vous aider dans votre choix, vous pouvez explorer le site toituresstreveler.be. Les isolants les plus utilisés sont les minéraux. Il s’agit, entre autres, de la laine de verre, la laine de roche et autres. Bien qu’ils ne soient pas très écologiques, certains fabricants ont décidé de les lier à des éléments naturels pour permettre leur recyclage.

Par la suite, on retrouve l’isolant synthétique. Ce dernier est issu du pétrole ou des dérivés. A l’instar, nous pouvons citer le polystyrène. Accessible à moindre coût, ce type d’isolant attire un grand nombre d’utilisateurs. De plus, sa performance thermique est satisfaisante. Par contre, il est assez difficile de recycler le polystyrène.

Depuis quelques années, le recours aux isolants naturels a augmenté. Ces derniers se distinguent par leur caractère respectueux de l’environnement et de la santé. On peut notamment faire usage de l’ouate de cellulose ou encore du chanvre.

Les zones prioritaires

Généralement, la déperdition énergétique a lieu à travers les combles ainsi que la toiture. En effet, 30% de la chaleur qui s’échappe d’une maison mal isolée vient des combles et de la toiture. Ainsi, cette zone est à isoler en premier afin d’améliorer l’isolation thermique de la maison.

Par la suite, il faudrait s’occuper des murs notamment les parties froides et celles qui font face à la pluie. Cela permettrait de les préserver contre l’humidité.

Puis, les portes et fenêtres sont à bien isoler. Cela peut être effectué en adoptant du survitrage ou bien un double ou triple vitrage. Les planchers sont aussi à isoler.

Comment connaître l’isolation adéquate ?

Pour choisir la meilleure isolation de son logement, il est essentiel de procéder à un bilan thermique. Ce dernier est entrepris par un professionnel. Il se chargera d’étudier la conformité de la maison à la réglementation en vigueur.

Grâce à ses compétences et expériences, il pourra déterminer les sources de déperditions de chaleur. Cela lui permettrait d’identifier votre consommation et vos besoins en chauffage.

Suite au bilan, le professionnel vous exposera tous les ponts thermiques à supprimer. Les ponts thermiques sont les zones où la barrière isolante est détériorée. D’où le passage facile de la chaleur. Le professionnel dispose de l’outil approprié pour détecter ces ponts thermiques et vous conseillera sur la meilleure méthode d’isolation.

Conseils pour réguler la température de chaque pièce d’une maison

réguler la température

Comme chaque pièce de la maison possède ses propres caractéristiques, la température dans chacune d’être sera différente. En effet, la température d’une chambre à coucher ne sera pas la même que pour la salle à manger. Toutefois, le contrôle de la température n’est pas toujours chose évidente. Pour vous aider alors, découvrez à travers cet article quelques points importants sur la régulation pièce par pièce de la température d’une maison.

La température idéale pour chaque pièce

Chaque pièce de la maison aura une température qui sera la mieux adaptée. Ainsi, dans les pièces à vivre comme la cuisine, le salon ou la salle à manger, la température idéale est de 19 °C. Par contre, pour les chambres à coucher, une température entre 16 ° et 17 ° est adaptée. Lorsque vous êtes sous la couette, le chauffage n’est pas tout à fait obligatoire. De plus, une chaleur trop forte peut avoir des impacts sur la qualité de votre sommeil. Toutefois, pour la chambre de bébé, une température entre 18 et 19 ° est plus conseillée.

Pour l’entrée, les toilettes et les dégagements, vous pouvez réguler une température de 17 °C. Si vous souhaite réduire votre consommation d’énergie, il est préconiser de mettre une température de 14 °C dans les pièces inoccupées telles que le sellier, le grenier ou la cave. Aussi, si vous êtes absent pendant plus de 24 h, vous pouvez même réguler à 12 ° C. Parmi toutes les pièces de la maison, la salle de bain est certainement celle qui sera la plus chauffée. En effet, il vous faudra une température ambiante allant de 19 à 22 °C pour garantir le confort nécessaire pendant vos bains.

Réguler la bonne température pour chaque pièce

Pour réguler la température idéale pour vos pièces, il sera possible de faire installer un thermostat pour chaque pièce. Il sera également possible d’équiper vos radiateurs d’un robinet thermostatique. Il s’agit ici d’un système de régulation qui fonctionne sur un radiateur électrique comme sur un radiateur à eau. Il existe plusieurs modèles de robinets thermostatiques, tout dépend de votre radiateur. En effet, il y a le robinet à sonde intégrée et le robinet programmable.

Si votre radiateur est inaccessible, il vous faudra un robinet à sonde distante ou un robinet commande à distance. Le plus avantageux de ces modèles reste tout de même le robinet programmable. En effet, il permet de gérer heure par heure la température de vos pièces. Ainsi, vous pouvez faire de réelles économies en énergie, car vous aurez la possibilité de régler la baisse de température pendant vos heures d’absence.

Aussi, il est possible de combiner l’utilisation d’un thermostat d’ambiance avec un robinet thermostatique. L’utilisation de ces deux systèmes vous permettra de réaliser une gestion plus précise de la température de vos pièces. Vous pouvez également utiliser un dispositif plus moderne comme un programmateur. Il s’agit d’un système qui programme la régulation de la température selon vos absences, vos retours à la maison ainsi que vos heures de coucher et de lever. Ainsi, vous pouvez éviter le gaspillage d’énergie et réduire vos factures.

Isolation thermique : comment assurer le confort d’hiver ?

confort d’hiver

Le confort de votre maison dépend grandement de la bonne gestion de la température de votre intérieur. Surtout en hiver, on essaye tous de rester loin du froid de l’hiver et bien au chaud chez soi. Cependant, le confort d’hiver ne sera pas assuré sans une isolation thermique optimale et adaptée. Pour en savoir plus, voyons à travers cet article les éléments importants pour assurer votre confort d’hiver.

Confort d’hiver : qu’est-ce que c’est ?

En période de grand froid, une différence de température de quelques degrés seulement entre l’ambiance et les parois ou les pieds et la tête peut vous faire frissonner. Avec une mauvaise température, on peut vivre une sensation d’inconfort chez soi. Cette sensation d’inconfort se présente dès que l’écart de température est supérieur à 3 °C. Cette différence de température est due à ce qu’on appelle « paroi froide ». La meilleure solution est bien sûr d’aménager une bonne isolation de vos parois.

Isoler vous permettra alors de faire régner une température agréable à vivre dans votre intérieur. Pour assurer votre confort thermique et permettre une température de 19 °C en hiver, veillez à ce que votre maison soit parfaitement isolée. De plus, si votre maison n’est pas suffisamment isolée et que la température n’est pas idéale, cela va entraîner une augmentation de votre consommation énergétique. Avec la bonne isolation, la bonne température et une ventilation adéquate, vous pouvez garantir votre propre hygiène de vie et l’état de votre maison.

Comment améliorer le confort thermique en hiver ?

En été, le plus important est d’assurer une forte résistance thermique à vos parois, avoir des surfaces vitrées bien orientées, mais aussi assurer une ventilation nocturne de la maison pour évacuer la chaleur. En hiver, les besoins ne sont pas les mêmes. En effet, il faut permettre un confort thermique idéal tout en évitant la consommation trop importante d’énergie. Le confort d’hiver dépend donc grandement tout comme le confort en été de la bonne isolation de la maison.

Un logement suffisamment isolé peut vous aider à éviter les perditions de consommation d’énergie. L’isolation thermique concernera ici non seulement de la toiture et des combles, mais également des murs, des fenêtres et même du plancher. Mais parmi tous ces facteurs, la toiture reste la plus importante, car elle représente 30 % des pertes d’énergie de la maison. Pour faire face au grand froid alors, pensez à faire vérifier l’état de votre toiture et permettre une réduction de vos factures d’énergie.

En plus de l’amélioration de votre isolation, il est également judicieux de choisir avec soin votre isolant thermique. Il est possible que votre maison soit bien isolée en hiver, mais devient très inconfortable en été. Ce souci est souvent rencontré lorsque l’isolant que vous avez choisi est inadapté. L’isolant a en effet pour rôle de limiter les perditions en chaleur en hiver et absorber le plus de chaleur venant de l’extérieur en été. Les isolants les plus efficaces qui assurent ces deux rôles en hiver et en été sont la laine de bois ou la perlite expansée.

Quel est le mode de chauffage le plus économique ?

mode de chauffage le plus économique

Le chauffage est un élément important qui garantit le confort de votre intérieur. Cependant, il présente une grande partie des dépenses du foyer. Avec les différents types de chauffage possibles, ce n’est pas toujours facile de faire le bon choix. En plus de vos besoins, des soucis d’environnement, la question économique est également importante. Pour vous aider alors, voyons ici le mode de chauffage le plus économique selon les éléments pris en compte.

Le poêle au bois

Tout d’abord, le premier dans la liste est bien sûr le poêle au bois. Vous avez le choix entre un poêle à granulés ou à bûches. Pour l’un comme pour l’autre, le poêle au bois est le plus économique de tous. Cependant, le prix à l’achat et à l’installation reste un investissement assez important pour les foyers. Mais ce prix sera considérablement rentabilisé par rapport aux autres systèmes de chauffage classiques. En effet, avec le prix du bois qui est aujourd’hui le combustible le moins cher du marché, cette rentabilité est rapidement observée.

La chaudière à bois

Tout comme le poêle au bois, la chaudière à bois fait partie des modes de chauffage les plus économiques grâce au prix du bois. Surtout pour les personnes dans la zone rurale avec des maisons de grand volume, la chaudière à bois est très avantageuse. En effet, elle a la capacité idéale pour chauffer toute la maison sans qu’il ait besoin d’un autre système de chauffage supplémentaire. Même si l’installation d’une chaudière à bois est assez coûteuse, il s’agit d’une solution très rentable sur le long terme. Les modèles à condensation fonctionnant aux granulés sont les plus efficaces en termes de chaudière.

La chaudière à condensation

Utilisant du gaz naturel, la chaudière à condensation est un mode de chauffage très performant. De plus, elle est très économique, car elle consomme en moyenne 5 à 10 % d’énergie de moins que les autres modes de chauffages. Aussi, l’installation d’une chaudière à condensation est généralement moins chère que les systèmes classiques. Le rapport qualité-prix de ce mode de chauffage est toujours intéressant même si le prix du gaz est en constante hausse. Si vous souhaitez réduire encore plus votre consommation d’énergie, il est préférable de changer votre vieille chaudière en un modèle plus moderne et plus performant.

La pompe à chaleur

En utilisant une pompe à chaleur, vous pouvez faire jusqu’à 60 % d’économies d’énergie. En effet, cette alternative de chauffage capte la chaleur de l’extérieur pour la transmettre au circuit de chauffage pour chauffer l’eau du radiateur. De plus, la pompe à chaleur est très économique avec un coefficient thermique très élevé de 3 kWh d’énergie restituée pour seulement 1 kWh consommé. Cependant, l’investissement pour l’installation d’une pompe à chaleur reste assez important. Il vous faudra entre 6000 à 10 000 € pour l’achat et l’installation. Ce coût peut être plus élevé si vous optez pour une pompe à chaleur géothermique ou un système qui pompe la chaleur du sol avec un réseau de captage ou de forage.

Est-il efficace de chauffer son logement pour lutter contre l’humidité ?

lutter contre l’humidité 

L’humidité est l’un des pires ennemis de notre logement. En effet, si des champignons ou des moisissures apparaissent sur vos murs, votre maison est certainement trop humide. Heureusement, il y a toujours une solution pour éviter l’humidité dans votre maison. Par exemple, avec une bonne ventilation, aération et une isolation optimale, vous pouvez lutter contre l’humidité. Mais vous sous demandez surement si chauffer votre logement est également une solution efficace. On vous dit tout à travers cet article.

Le chauffage pour lutter contre l’humidité, comment ?

Pour chauffer correctement votre intérieur, il est important de savoir choisir le type de chauffage le plus adapté. Les systèmes de chauffage les plus efficaces et les plus économiques sont les poêles au bois granulés et les chaudières à gaz. Avec le bon mode de chauffage, vous pouvez bénéficier d’un confort thermique idéal dans votre intérieur tout en éviter une consommation trop importante d’énergie.

Ensuite, en plus de savoir choisir votre chauffage, ne négligez pas le choix de votre fournisseur d’électricité ou de gaz. Entre autres, sachez qu’il est inutile de surchauffer votre logement lorsqu’il y a de l’humidité. Une température ambiante de 19 °C sera amplement suffisante même en cas d’humidité. De plus, veillez à chauffer sans interruption, car l’air froid sature plus rapidement que l’air chaud.

La ventilation et l’isolation, des solutions très efficaces

Une bonne ventilation est un élément important pour assurer la qualité de l’air de votre intérieur. En aérant correctement votre logement, vous pouvez lutter contre les polluants dans l’air ambiant de votre maison. Aussi, la ventilation joue un rôle important pour lutter contre l’humidité engendrée par les habitants de la maison. En effet, l’eau utilisée au quotidien, la transpiration, mais également celle qui vient de l’extérieur apporte de l’humidité dans le logement. Avec une ventilation efficace, on peut garantir l’apport d’oxygène nécessaire dans notre intérieur et assurer ainsi l’évacuation de l’humidité.

Tout comme la ventilation, l’isolation joue également un rôle majeur contre l’humidité. Les deux travaillent en complémentarité pour assurer le chauffage et le confort de la maison. Ainsi, si les pièces ne sont pas aérées ni chauffées comme il faut, les polluants vont facilement se développer et faire apparaitre des moisissures. Si vous souhaitez donc une maison loin de l’humidité, pensez à vérifier votre système de ventilation et d’isolation. N’hésitez pas à réaliser des travaux de rénovation énergétiques pour améliorer l’isolation.

D’autres conseils pour lutter contre l’humidité

En plus d’un chauffage adapté, une bonne isolation et ventilation, on doit prendre soin de notre intérieur pour lutter contre l’humidité. Par exemple, la température idéale pour l’intérieur de la maison se situe entre 17 et 19 °C. Il est inutile de réguler une température plus de 17 °C à l’heure du coucher et que lorsque vous êtes sous la couette. Par contre, vous pouvez augmenter la température à 21 °C dans les pièces qui nécessitent plus de chauffage comme la salle de bain par exemple. Si vous avez des soucis d’humidité, évitez un écart de température trop important dans votre maison.